Ils sont vingt. Vingt courageux doctorants, hommes et femmes, issus de différents pays et de branches variées à se mesurer ce soir à 18h30 à l’Université de Liège, en Belgique. Leur objectif? Présenter leur recherche doctorale en 180 secondes, pas une de plus. Un jury international les départagera.
Parmi les candidats, deux Helvètes. Sarah Olivier, doctorante en histoire de l’Université de Genève et lauréate de la finale suisse le 18 mai dernier, et Amaël Cohades, doctorant de l’Ecole polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL), qui a obtenu la deuxième place.
L’historienne va parler de la mémoire mérovingienne à la fin du Moyen Age, tandis que l’ingénieur évoquera les matériaux composites autoréparants. «J’avais besoin de partager ma recherche, car un doctorat est un travail très solitaire», explique Sarah Olivier. «J’aime bien parler de ma thèse et suis attiré par la vulgarisation», renchérit Amaël Cohades.
C’est aussi cet intérêt pour la communication qui...