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L’UDC se défend d’être alémanique et de mépriser ses Welsches

Un Romand, condition à un deuxième siège UDC au Conseil fédéral.

09 oct. 2015, 01:13
ZU DEN EIDGENOESSISCHEN WAHLEN VOM 18. OKTOBER 2015 STELLEN WIR IHNEN ZUM BUNDESHAUS FOLGENDES BILDMATERIAL ZUR VERFUEGUNG - WEITERE BILDER FINDEN SIE AUF UNSERER WEBSEITE "PARLAMENTSWAHLEN 2015" - Sitzungszimmer des Bundesrats im Bundeshaus West in Bern, aufgenommen am 18. Maerz 2009. (KEYSTONE/Gaetan Bally) SCHWEIZ WAHLEN 2015 BUNDESHAUS

«Un Latin ou rien»: la condition de base posée par Christophe Darbellay et Christian Levrat à toute candidature UDC au Conseil fédéral – révélée dans notre édition d’avant-hier – a contribué à animer le grand débat préélectoral télévisé sur la RTS mercredi soir.

Le président du Parti socialiste s’est dit «surpris» que sa condition ne suscite pas l’enthousiasme des UDC romands. «Cela révèle que vous n’avez pas d’influence à l’intérieur de l’UDC suisse, parce que vous devriez défendre l’idée qu’un des vôtres aille au Conseil fédéral», a lancé Christian Levrat à Claude-Alain Voiblet.

Une UDC plus urbaine

L’UDC romande n’a-t-elle vraiment pas voix au chapitre? Le vice-président du parti s’en défend: «C’est une vision tronquée de la réalité et une image du parti qui date d’avant les années 2000.» Aujourd’hui, l’UDC a deux vice-présidents romands, le Valaisan Oskar Freysinger et lui-même. Elle a fortement progressé de ce côté-ci...

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