Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés

«Body Worlds» vue de Neuchâtel

21 sept. 2017, 00:53
DATA_ART_11524460

Le temps n’y change rien. A chaque fois, depuis 20 ans, l’exposition de cadavres humains plastinés, «Body Worlds», suscite de belles levées de boucliers.

Comme un rituel convenu, avant même son ouverture ce 21 septembre à Genève-Palexpo, le macabre show a provoqué son concert d’indignations. Blasphème, atteinte à la paix des morts, business contraire à la dignité humaine... les arguments ne manquent pas. Deux députés genevois – l’UDC Marc Falquet et le Vert François Lefort – sont allés jusqu’à demander son interdiction.

C’est de l’art!, proclament pour leur part les organisateurs de l’exposition. De l’art et de la pédagogie, l’objectif étant «d’informer le public sur le fonctionnement interne du corps humain et montrer à long terme l’impact des maladies et addictions». Evidemment, l’exposition doit son succès au procédé de plastination (remplacement des liquides du corps par de la silicone) à l’origine de ces scénographies saisissantes. Mais là aussi, les poses...

Votre publicité ici avec IMPACT_medias