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Les joueuses du NUC, pros sur le terrain et en dehors

La majorité des joueuses du NUC exercent une activité professionnelle ou académique à côté du volley. Comment parviennent-elles à concilier sport de haut niveau et travail ou étude? Réponse en amont de leur entrée en lice ce mardi soir en Challenge Cup, au Danemark.

12 déc. 2017, 00:45 / Màj. le 12 déc. 2017 à 12:33
Mandy Wigger jongle entre le volley et les commandes.

L’avion pour Copenhague vient tout juste de décoller du tarmac de l’aéroport de Genève, ce lundi. La tête dans les nuages, des joueuses du NUC écoutent de la musique, discutent en petits groupes ou pensent déjà à ce 16e de finale aller de Challenge Cup qu’elles disputeront ce soir (18h30) contre Holte IF.

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D’autres, à l’instar d’Elisa Suriano, restent très terre à terre. «Les déplacements sont des instants précieux pour réviser», sourit l’ailière de 16 ans, volleyeuse du NUC en LNA et étudiante en deuxième année au lycée Denis-de-Rougemont à Neuchâtel.

«Avec deux tests écrits et un exposé oral en fin de semaine, ce match de Coupe d’Europe ne tombe pas au meilleur moment. Mais j’ai l’habitude de jongler de l’un à l’autre, et je planifie mes séances de révision lors des pauses que nous bénéficions durant la journée....

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