Au premier jour de cet Open d’Australie, avancer le nom de Novak Djokovic comme futur vainqueur du tournoi n’avait rien d’une illumination. La supériorité affichée par le Serbe depuis 12 mois est si évidente qu’on se demande encore qui pouvait douter de ses forces. En 2016 comme c’était le cas en 2015, il y a «Djoko»... et les autres.
L’imperturbable machine à gagner de 28 ans a donc accroché hier une nouvelle étoile majeure à son imposante collection, limitant vite le champ d’action de son dauphin au ranking ATP, Andy Murray, renvoyé à la maison – et auprès de son épouse Kim, sur le point d’accoucher – en trois sets (6-1 7-5 7-6, 2h52 de jeu). Rien de neuf donc sous le soleil australien, là où le joueur écossais a perdu sa quatrième finale face à Djokovic.
Ce «Plexicushion» de Melbourne reste ainsi le terrain de prédilection du joueur serbe,...