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Brésil: la belle-mère de Bernie Ecclestone, pape de la F1, libérée par la police

Le richissime patron de la F1, le Britannique Bernie Ecclestone, n'aura pas à débourser 35 millions de francs pour retrouver sa belle-mère, enlevée il y a 8 jours au Brésil. La police est parvenue à la libérer des mains des ravisseurs qui réclamaient la plus grosse rançon jamais demandée dans le pays.

01 août 2016, 08:39
A la tête d'une fortune estimée à plus de 3 milliards, Bernie Ecclestone n'aura pas à débourser les 35 millions de la rançon.

La police de la mégapole brésilienne de São Paulo est parvenue dimanche à secourir la belle-mère du patron de la Formule 1, le Britannique Bernie Ecclestone, a annoncé la presse locale. La femme de 67 ans avait été enlevée il y a huit jours.

Elle a recouvré la liberté lorsque les agents ont fait irruption dans une maison où elle était retenue contre son gré à Cotia, une ville de la région métropolitaine de São Paulo. "La victime va bien", a déclaré un policier au site d'informations G1.

Deux hommes ont été arrêtés. L'opération s'est déroulée vers 18h40, heure locale (23h40 dimanche en Suisse), précise G1.

La victime est la mère de Fabiana Flosi, 38 ans, qui a rencontré le milliardaire Bernie Ecclestone, 85 ans, quand elle travaillait dans l'organisation du Grand Prix d'Interlagos à São Paulo, en 2009. Le couple s'est marié en Suisse et vit à Londres.

Rançon de 120 millions exigée

La belle-mère de M. Ecclestone avait été enlevée il y a un peu plus d'une semaine chez elle dans le quartier huppé de Jardin Santa Helena à Interlagos par un groupe d'hommes qui s'étaient fait passer pour des livreurs, avaient raconté des voisins à l'AFP.

D'après l'hebdomadaire Veja, les ravisseurs auraient exigé le paiement en espèces d'une rançon en livres sterling d'un montant de 120 millions de réaux (35 millions de francs). Les autorités n'ont fait aucun commentaire à ce sujet.

Les rapts contre rançon étaient fréquents au Brésil à la fin des années 1990 et au début des années 2000. Ils ont toutefois diminué avec la création de commissariats spéciaux et une répression policière plus sévère.

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