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Dans les coulisses

29 déc. 2009, 07:30

Du temps pour Roland Stalder C'est la sixième et dernière Coupe Spengler de l'arbitre seelandais. Au terme de la saison, il rangera son sifflet. «J'ai eu 50 ans cette année, paraît-il que c'est la date limite pour un arbitre», sourit-il. «L'arbitrage m'a permis de croiser énormément de gens intéressants. J'ai dirigé plus de 1000 matches durant ma carrière, c'est difficile d'en sortir un en particulier.» Directeur de jeu non-professionnel en Ligue nationale depuis 1991, Roland Stalder bosse au quotidien pour la commune de Lyss. «Comme j'aurai bien plus de temps à ma disposition, je pourrai me consacrer davantage à mon travail et à ma famille. Cette dernière ne va pas s'en plaindre…»

Zigmund Palffy, la star… «Ziggy», c'est la vedette de la 83e Coupe Spengler. Invité par les Tchèques de Karlovy Vary le temps du tournoi, Zigmund Palffy n'a-t-il pas amassé 732 points en 798 matches disputés en NHL? Depuis deux saisons, il sue en 1re division slovaque, au HK 36 Skalica, club de sa ville natale. «Je suis juste venu à Davos pour jouer à un rythme supérieur dans le but d'être retenu pour les Jeux olympiques. C'est le dernier grand défi de ma carrière», dit-il. Mais l'attaquant de 37 ans, c'est surtout une vedette dans le sens le plus péjoratif du terme. L'évocation de titre mondial décroché en 2002, en Suède, par la Slovaquie? «Pas la peine d'en parler, c'est trop loin.» Avec ce client, une interview dépassant les deux minutes mérite une mention dans le Guinness Book…

Samuel Guerra privé de médias Mardi 22 décembre, Vaillant Arena. A 16 ans et demi à peine, le défenseur davosien Samuel Guerra fête son premier match en LNA face au HC Bienne. Dimanche 27 décembre, Vaillant Arena. L'ancien junior d'Ambri-Piotta vit ses premiers émois à la Coupe Spengler. Une quinzaine de présences sur la glace face à Karlovy Vary, champion de République tchèque? Un bon sujet. «Désolé, Samuel n'est pas autorisé à parler à la presse», informe le responsable médias du HC Davos. «Il a besoin de calme. Ce n'est pas bon pour lui si des journalistes l'interviewent comme une star mondiale. Quand il se sera affirmé en tant que personnalité, il pourra parler aux médias autant qu'il le souhaite.» Et l'ombre d'Arno Del Curto de planer… /lkl

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