«En football aussi, la vie continue. Nous sommes devant un nouveau défi qui doit nous conduire dans deux ans en Russie. Vivons-le pleinement!» Vladimir Petkovic a tourné la page. Mais l’Euro 2016 fut, à l’entendre, une belle aventure à l’issue mortifiante.
«Nous méritions d’aller plus loin», lâche le sélectionneur de l’équipe de Suisse 65 jours après ce huitième de finale face à la Pologne perdu aux tirs au but. «Il nous a manqué sans doute un peu de chance», avoue-t-il. «Mais elle n’est pas seulement le fruit du hasard. Elle se provoque tous les jours à l’entraînement avec de la concentration et de la volonté dans le dernier geste.»
On ne sait pas si Vladimir Petkovic parviendra d’ici la venue du Portugal mardi à Bâle à métamorphoser Seferovic et Derdiyok, ses deux attaquants qui auraient dû marquer en ce 25 juin. Mais le sélectionneur entend s’inspirer de ce qui...