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La Romandie, désert offensif

Les «Welches» de l’équipe nationale ne pointent plus aux avant-postes.

25 mars 2017, 00:58
Swiss Stephane Chapuisat, right, tries to shoot against German Christian Woerns in a pre Euro2004 friendly soccer match between Switzerland and Germany, in Basel, Switzerland, Wednesday, June 2, 2004. Chapuisat plays his 100th game with the Swiss team. (KEYSTONE/Walter Bieri) FUSSBALL SCHWEIZ DEUTSCHLAND

La Suisse doit battre la Lettonie ce soir (18h à Genève) pour continuer son sans-faute sur la route de la Coupe du monde 2018. Même de retour en Romandie – où elle n’a plus disputé de match officiel depuis juin 2013 –, elle ne se reposera pas sur un «Welch» pour trouver le chemin du but. S’ils sont cinq à faire partie du groupe – Djourou, Moubandje, Lacroix, Gelson et Edimilson Fernandes –, les Romands se font rares en équipe de Suisse, en zone offensive plus particulièrement. On ne parle pas des Antenen, Fatton ou autres Abegglen. Mais depuis Stéphane Chapuisat (qui a pris sa retraite internationale en 2004) et Blaise Nkufo (2010), aucun n’a réussi à s’installer durablement dans le secteur offensif. Voici les quatre raisons principales de cette disparition.

«Il ne faut pas se leurrer, le foot romand dans sa globalité est à la rue», attaque Stéphane...

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