Des coureurs sur des chemins de terre. L’image s’incrustera. Dans l’histoire du Tour de France, cela réveille par exemple l’échappée de Louison Bobet dans l’Izoard en 1953. Lors de la première étape de montagne du Tour 2018, sur le plateau des Glières, en Haute-Savoie, hommage au maquis de la Résistance, le peloton vivra cette expérience (comme celui du Giro sur le col Delle Finestre).
«Une étape inédite, sportive, esthétique, historique. La route n’est pas goudronnée, il y a deux kilomètres de chemins. On retrouvera un peu du si précieux parfum d’antan. Il n’y a pas de danger pour les coureurs, mais ils vont avoir des masques de poussière», décrit Christian Prudhomme, le directeur du Tour.
Le plus court depuis 2002
Le souhait des responsables de la Grande Boucle, année après année, est d’entretenir la légende et de nourrir le suspense, de marier du classique et des nouveautés pour sublimer l’esprit...