Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés

Dix-huit Grand Raid, l'âge de la maturité pour Michaël Montandon

Ce samedi en Valais, Michaël Montandon s'élancera au départ de son 18e Grand Raid. Recordman neuchâtelois de "Verbier-Grimentz", le Bevaisan de 40 ans a noué comme personne d'autre une relation fusionnelle avec la mythique épreuve alpine. Pour la première fois, il a été d'accord d'ouvrir son livre à souvenirs.

17 août 2017, 09:03 / Màj. le 17 août 2017 à 12:05
Michaël Montandon éprouve toujours une joie d'enfants quand le Grand Raid arrive. Comme son fils Florent.

Il y a quelque chose de merveilleux dans la relation fusionnelle qui unit Michaël Montandon au Grand Raid. Quelque chose d’impénétrable aussi pour le commun des mortels. Depuis son baptême en 1998, le Bevaisan (40 ans) n’a commis que deux infidélités à ce marathon démesuré de 125 kilomètres et 5025 mètres de dénivellation entre montagnes majestueuses et vallées verdoyantes. Contre son gré, car le coureur du Zeta Cycling Club en est tombé raide dingue.

«Cette fascination, je ne me l’explique pas moi-même. Ce serait mentir de dire que je n’ai jamais souffert. Mais le plaisir a toujours été plus fort que tout», reconnaît le recordman neuchâtelois de Verbier-Grimentz, à l’assaut, demain, de l’effroyable Pas de Lona pour la 18e fois de sa vie. Sans aucune trace de lassitude sur le vélo. «J’ai dit qu’après avoir franchi la barre des 20 éditions, j’allais repartir pour 20 autres», plaisante-t-il. Avant le départ,...

Votre publicité ici avec IMPACT_medias