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«Dire que je n’ai plus de rivaux, c’est des bêtises»

Solide leader du Tour de France, Chris Fromme assure que tout peut encore se passer dans les Alpes.

20 juil. 2016, 01:01
Current leader Chris Froome from Britain poses for a picture in front of the swiss alps at the shore of lake Thun on the rest day before the 17th stage of the 103rd edition of the Tour de France cycling race over 209km between Bern and Finhaut in Switzerland, in Hilterfingen, Tuesday, July 19, 2016. (KEYSTONE/Manuel Lopez) SWITZERLAND TOUR DE FRANCE 2016

Le Tour de France peut-il être relancé en Valais? C’est la grande question avant l’arrivée aujourd’hui à Finhaut-Emosson, lors d’une édition 2016 archi-dominée par Chris Froome.

A cinq jours de l’arrivée à Paris, et au moment d’attaquer les Alpes, le Britannique compte 1’47’’ d’avance sur le Néerlandais Bauke Mollema, 2’45’’ sur son compatriote Adam Yates et 2’59’’ sur celui qui était annoncé comme son plus sérieux rival, le Colombien Nairo Quintana.

Outre ces écarts importants, le double vainqueur du Tour (2013 et 2015) dégage un sentiment d’invulnérabilité, renforcé par la maîtrise collective de son équipe Sky. De quoi penser que le Tour est déjà joué...

«Ce n’est absolument pas vrai», assure toutefois Chris Froome. «Ceux qui affirment que je n’ai plus de rivaux disent des bêtises. Il reste un bloc très difficile de quatre étapes dans les Alpes (réd: Finhaut-Emosson, Megève, Saint-Gervais mont Blanc et Morzine), où je peux tout...

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