Non, le BBCC n’est pas mort. Il se porte même très bien et reste plus que jamais le point d’ancrage du basketball dans les Montagnes neuchâteloises, même sans équipe en première ligue.
Simplement, une page s’est tournée. Ces deux dernières saisons, l’équipe fanion du BBCC, menée par le légendaire Herb Johnson, a atteint le «final four» de première ligue. Un chant du cygne. Car, en coulisses, la réalité était bien moins glamour.
«J’avais dit bien en avance que je souhaitais me retirer de la présidence en juin, pour des raisons professionnelles et familiales. J’ai simplement tenu ma parole», explique l’ancien président Ludovic Kurth, qui a, depuis, pris beaucoup du recul avec les affaires de la balle orange. Une sortie en grand seigneur.
«Ludovic a très bien fait les choses», confirme Yolande Michel, qui lui a succédé à la présidence, presque malgré elle. «Il a convoqué une séance extraordinaire...