Florian Lorimier n’a pas changé ou tout juste est-il devenu un peu plus pince-sans-rire. La base de sa méthode non plus, mais ses exercices évoluent au gré de «ses» athlètes, de ses patients ou de ses clients privés.
De ses expériences, en quelque sorte. «Les sportifs d’élite dont je m’occupe me servent plus souvent de ‘cobayes’pour ma clientèle privée, que l’inverse», explique-t-il. «Ainsi, je fais profiter l’ensemble de mes clients des dernières évolutions d’entraînement que j’ai validées avec les athlètes de niveau mondial. De toute manière, tout le monde peut effectuer les exercices que je propose à Justin Murisier, par exemple.» Une dernière phrase prononcée avec un sourire entendu.
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Hyperindividualisation
En regardant le préparateur neuchâtelois travailler avec le skieur valaisan, on souffre pour lui. On n’est pas certain du tout de pouvoir réaliser certaines choses. Même...