L’Américain Alberto Salazar, entraîneur du Britannique Mo Farah, a balayé dans la presse les accusations de l’Agence américaine antidopage (Usada). Dans un rapport, elle avait dénoncé les méthodes controversées du coach.
«Nous n’avons rien à cacher et nous ne cachons rien», a expliqué Salazar dans un courrier électronique adressé au quotidien «The Oregonian». «Comme je l’ai déjà dit à plusieurs reprises, les succès de mes athlètes sont dus à un travail acharné et à leur dévouement», a poursuivi Salazar, à la tête d’un groupe d’entraînement baptisé «Oregon Project» et financé par l’équipementier Nike.
«Je crois dans le sport propre, dans une approche méthodique et professionnelle de l’entraînement, Oregon Project ne permettra jamais le dopage, tous ses athlètes ont le devoir de respecter le code mondial antidopage de l’AMA et les règles de l’IAAF», a-t-il assuré.
L’ancien marathonien, qui a conduit Farah au doublé 5000-10 000 m aux...