Deux semaines après l’action coup de poing d’Unia au restaurant du Soliat, au Creux-du-Van, le dialogue pourrait renaître prochainement entre le tenancier Maximilien Sandoz et le syndicat. Des courriers ont circulé et, hier, tant Maximilien Sandoz que son avocat ont confirmé un prochain round de négociations, alors qu’Unia déclare "laisser la porte ouverte". Ce, alors qu’une première conciliation avait déjà échoué durant l’été.
Alors que les griefs formulés par Unia sont nombreux – non-respect des conventions collectives, travail non déclaré, journées de 16 heures, licenciements injustifiés... – le tenancier s’inscrit en faux. Il conteste également la véracité des différents témoignages recueillis par le syndicat.
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"Une cabale"
S’il n’avait pu être joint durant et après l’action d’Unia au Soliat, Maximilien Sandoz a écrit dimanche dernier à notre rédaction. Entre-temps, l’un de ses employés actuels est allé trouver le...