Lorsqu’on lui demande le groupe à ne pas louper durant le festival Hors Tribu – du 4 au 7 août prochain –, sa présidente Edith Matthey vote, après mûre réflexion, pour les neuchâtelo-bernois de Virgin Bitch. «C’est un peu une allégorie d’Hors Tribu en fait. On a l’impression que rien n’est organisé dans leur musique, mais ça marche.»
Si le festival écolo et sans sponsors peut paraître être un joli bastringue improvisé, c’est loin d’être le cas, surtout cette année. Voilà plusieurs mois que le nouveau comité d’organisation – qui se retrouve pour la première fois seul aux commandes – cumule les imprévus et les urgences. «C’est l’année de la malchance», concède la présidente, qui rassure bien vite. «C’était un peu compliqué mais nous avons tout réussi à bien goupiller.»
Des nouveautés mais pas de révolutions
Nouvelle équipe en cuisine, nouveau chapiteau, nouvelle organisation spatiale des installations. Voulues ou...