«Si on ne fait pas de la politique, on la subit. La vie de notre commune nous concerne tous et je suis venue ce soir pour voir quels sont les inconvénients et les avantages de la fusion», relève Martine Thevoz, présidente de l’association Présence Afrique chrétienne. Neuchâteloise originaire du Cameroun, elle a été conviée à une rencontre avec les communautés étrangères du Littoral, mise sur pied par le comité de pilotage (Copil) du projet de fusion Neuchâtel-Ouest.
Si seule une vingtaine de personnes ont répondu présent mercredi soir à Peseux, elles ont néanmoins manifesté un vif intérêt pour ce possible mariage à quatre, entre Corcelles-Cormondrèche, Neuchâtel, Peseux et Valangin. Le public a d’abord assisté à une brève présentation du projet de fusion. Dont l’accent a porté sur les assemblées citoyennes prévues en cas de oui aux urnes le 5 juin. Puis, les participants ont pu exprimer leurs interrogations.