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«Réparer ce qu’on a cassé...»

Invité du Nifff, Takashi Miike surprend à chaque nouveau film.

04 juil. 2017, 01:06
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Né en 1960 non loin d’Osaka, reconnu depuis «Audition» (1999), Takashi Miike écume les genres avec un sens sidérant de la provocation et de l’innovation visuelle. Ultraviolence, sexe et scatologie caractérisent sa filmographie prolifique.

Invité phare de la dix-septième édition du Festival international du film fantastique de Neuchâtel (Nifff), il est venu dimanche, avec la jeune star Kento Yamazaki, présenter «Jojo’s Bizarre Adventure: Diamond is Unbreakable» devant une foule en délire. Adapté du manga de Hirohiko Araki à grand renfort d’effets visuels qui traduisent à merveille les dessins en prises de vues réelles, ce film raconte les bisbilles de lycéens dont les profils psychologiques se matérialisent sous la forme d’avatars colorés appelés «Stands». Rencontre.

Takashi Miike, qu’est-ce qui vous a décidé à adapter «Jojo»?

Ce manga jouit d’une très grande notoriété. Ça fait une dizaine d’années que des cinéastes essaient sans succès de l’adapter au cinéma, parce qu’ils rencontrent des...

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