Si les laiteries, autrefois véritables et indispensables institutions villageoises ne veulent pas s’éteindre, elles sont obligées de se diversifier.
Des anciens du métier qui songent à la retraite aux plus jeunes qui ont le courage de se lancer. Chacun évoque l’évolution de la profession et parle de son avenir teinté de rose pour certains, plutôt sombre pour d’autres.
A lire ce mardi dans L'Express - L'Impartial