«Je mettrai l’orthographe même sous les mains du bourreau», citait le présentateur de la 19e Dictée tous âges hébergée, vendredi passé, à l’aula des Jeunes-Rives, à Neuchâtel. Je ne sais pas si je suis aussi rigoureuse que le poète et romancier Théophile Gautier, mais j’ai voulu tester mes compétences orthographiques.
L’événement organisé par l’Université du 3e âge dans le cadre de la Semaine de la langue française et de la francophonie a réellement rassemblé toutes les générations. Cinq classes du lycée Jean-Piaget ont notamment participé à l’exercice, ainsi que des seniors ou des étudiants universitaires. J’ai aussi contribué à cette diversité en tant que stagiaire journaliste.
Je n’avais pas pensé l’exercice si compliqué de prime abord. Pourtant, mon orthographe en a quand même ramassé un coup. Bien qu’avec sept fautes, elle fût meilleure que celle de mes voisins lycéens de deuxième année. Les aînés, eux, volaient dans d’autres...