«Le jazz n’est pas dangereux!», «notre musique est accessible!», «on offre aux musiciens un cadre idyllique pour qu’ils puissent faire passer leurs émotions; la musique, c’est l’émotion»... Paroles, en conférence de presse, de Jean Martin Peer, fondateur, homme-orchestre et programmateur de l’Auvernier Jazz festival.
En 2015, la soul et le funk étaient rois; l’édition 2016 nous paraît nettement plus jazzy, voire franchement jazz, ce qui n’est pas pour nous déplaire, en gardant bien à l’esprit combien le mot «jazz» a vu sa définition s’élargir au fil des décennies. Et, oui, tout jazz qu’il est, le programme, avec de très nombreux/ses vocalistes offre une musique qui plaira à un large public, une des caractéristiques d’Auvernier.
Le compte à rebours a commencé
Ouverture avec Juliane Rickenmann, la saxophoniste locloise que Johnny Hodges a amenée au jazz et qui, une solide réputation, de nombreux séjours et tournées à l’autre bout...