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Ed Motta, l’épicurien de l’Auvernier Jazz

24 août 2017, 00:34
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«My life is a good Mont d’Or with a glass of Poulsard!» (réd.: le plant rouge iconique des vins du Jura). Pas de doute, Ed Motta, ce samedi à l’Auvernier Jazz Festival, est un épicurien. Truculent, enthousiaste, cultivé, ce batteur, pianiste, guitariste et fantastique chanteur né à Rio en 1971, est une immense vedette au Brésil mais un relatif inconnu de ce côté-ci de la Sarine.

Tonitruante interview téléphonique, juste avant un concert quelque part au Brésil.

Ed Motta, on ne vous connaît pas très bien en Suisse romande. Deux mots sur votre parcours, pour nous lancer?

J’ai commencé, vers 12-13 ans, comme batteur d’un groupe de hard rock. On faisait des reprises de Deep Purple et Led Zeppelin.

Mais ce qui m’a ouvert les oreilles, c’est Jeff Beck et son album «Blow by Blow», Whoaa! Cette musique infectée de fusion et de soul m’a fait basculer vers le soul....

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