Il existe depuis 18 ans. Mais il traverse, actuellement, une zone de turbulences. Les communes du Landeron, de Lignières, de Cressier et de Cornaux viennent de dénoncer la convention les liant au Centre d’animation et de promotion de la santé (CAP) avec effet au 31 décembre 2017. Estimée à 207 000 francs, la charge qui incombe aux communes apparaît trop lourde en regard du taux de fréquentation en baisse. «Les repas de midi fonctionnent bien, mais le CAP n’est pas une structure d’accueil parascolaire, il a un autre rôle à jouer», nuance Jean-Marc Jeanneret, délégué pour la commune du Landeron et responsable du groupe de réflexion.
Car une réflexion est en cours, avec pour objectif de sauver le Cap. «Nous devons redéfinir son identité, le redynamiser afin de pouvoir faire bénéficier les jeunes de la région d’un centre d’activités utile», relève Jean-Marc Jeanneret. «Il s’agit...