La victime a pu quitter l'hôpital. Elle va psychologiquement bien et se remet gentiment de sa blessure, a-t-on appris. Cette rencontre avec l'auteur du coup de couteau doit être interprétée comme un pardon mutuel, sans que cela remette en cause le travail de la justice.
Par ailleurs, il apparaît que l'arme utilisée pour l'agression n'est pas illégale. Le couteau, doté d'un mécanisme d'ouverture semi-automatique est en vente libre et c'est bel et bien dans un magasin de la place qu'il a été acheté par l'agresseur.
A noter encore que l'arme utilisée lors de l'agression n'est pas en mains des enquêteurs. Elle a vraisemblablement "disparu" lorsque les amis de l'auteur du coup de couteau l'ont désarmé. Pour la justice, cette disparition ne nuit pas au bon déroulement de l'enquête "puisque l'on sait quel type de couteau a été utilisé", note la procureur en charge du dossier.