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Clémence pour le tagueur

Trahi par d’anciennes traces, il se dit repenti.

30 mai 2017, 01:46

Mizo Gine* a un passé de tagueur prolifique. Il ne salit plus les murs de ses tags et graffitis, jure-t-il, depuis qu’il a été interpellé, en novembre 2015. Du moins plus en Suisse. Mais les traces qu’il a laissées sur le Littoral neuchâtelois, lui ont valu une nouvelle arrestation avec perquisition préalable à son domicile, le 24 décembre dernier.

Les limiers ont considéré que Mizo Gine ne s’était pas assagi après sa première condamnation. Et, s’il s’en était tiré avec une peine assortie du sursis la première fois, le Ministère public exigeait désormais une peine ferme. Le jeune homme s’est opposé à l’ordonnance pénale en contestant avoir réalisé de nouvelles œuvres après la première mise en garde de la justice. Devant la juge du Tribunal de police, à Neuchâtel, le jeune homme n’a pas contesté avoir réalisé les 71 tags et graffitis qui ont fait l’objet de plaintes de la...

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