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Dans les pas d'un champignonneur: seconde étape, le contrôle

De retour de ma cueillette de champignons au Communal, je suis passé au contrôle. Verdict: pas de quoi m'empoisonner, mais pas de quoi me nourrir non plus...

25 sept. 2017, 16:10 / Màj. le 25 sept. 2017 à 18:00
Une grappe de vesses-de-loup fraîches au Communal de La Sagne. Photo: Vincent Costet

Notre journaliste a testé pour vous un loisir vieux comme le monde: la cueillette de champignons. Marchez avec lui dans les sous-bois du Communal de La Sagne avant de passer à la seconde étape: le contrôle des spécimens récoltés.

Pour la première fois depuis des lustres, je suis donc allé aux champignons. De retour avec mon panier, et sans illusions, je vais toquer à la porte de la contrôleuse, passage Léopold-Robert 3 à La Chaux-de-Fonds.

C'est Delphine Arnoux qui m'accueille, dans son petit local du 4e étage. Avec un grand sourire et un gros guide des champignons. Elle n'a pas dû l'ouvrir beaucoup, d'ailleurs. Le "dico", elle semble l'avoir en grande partie en tête.

Donc sur la vingtaine de champignons ramassés, seuls quatre sont comestibles: deux vesses-de-loup encore mangeables (elles sont blanches à l'intérieur), un clitocybe en entonnoir et un cortinaire variable. Pas de quoi faire des vrilles... "A mettre...

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