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L’art de la rupture pour la Saint-Valentin

Oeuvres d’Arnold Schönberg et Gustav Mahler au temple ce week-end.

10 févr. 2016, 05:47
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Les Découvertes musicales se placeront ce week-end sous le signe du romantisme, propre à la Saint-Valentin. Mais pas seulement. Des œuvres atonales, compliquées comme peuvent parfois l’être les relations amoureuses, résonneront au temple du Locle.

La rupture sera même dans l’air vendredi, à l’écoute d’œuvres d’Arnold Schönberg (1874-1951), «le musicien qui fait peur», admet Simon Péguiron, directeur des Découvertes musicales.

Père du dodécaphonisme, «Schönberg n’a pourtant jamais voulu abandonner la tonalité. Il n’a fait que pousser plus loin ce qui avait déjà été écrit».

Pour s’en rendre compte, le public est invité à plonger avec la Rheinische Philharmonie de Coblence (D), dans «La nuit transfigurée», œuvre du compositeur viennois inspirée par un poème de son ami Richard Dehmel (1863-1920). Ou l’histoire d’une femme qui apprend à son époux que l’enfant qu’elle attend est d’un autre homme. Compliqué disions-nous... Une musique envoûtante et douce néanmoins, avant de partir explorer de nouveaux...

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