Les falaises du Col-des-Roches abritent des espèces rares et convoitées de rapaces. "Ces parois rocheuses permettent à ces prédateurs de se protéger un maximum, et de dominer une région, où ils peuvent aller chasser des volatiles en plein vol», explique Yvan Matthey, responsable de la gestion des réserves chez Pro Natura Neuchâtel.
Les protecteurs de l’environnement se sont par conséquent préoccupés d’investiguer sur les répercussions du projet d’évitement du Locle sur le quotidien de ces prédateurs.
«Mais ça ira, leur vie ne sera guère impactée par la nouvelle route qui sortira où se trouve la carrière aujourd’hui. Le flot actuel des voitures en moins, ils y seront même plus tranquilles.»
Donc, de ce côté-là, le souci est écarté.
En reste par contre un autre. Qui renvoie à une triste affaire. Celle du trafic des très convoités faucons pèlerins. Une actualité qui revient sur le devant de la scène depuis deux ans.
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