Pour Daniel Musy, Jean-Charles Legrix représente "un immense danger pour les valeurs humanistes et le respect de la collégialité au sein du Conseil communal". Il estime par contre que Marc Arlettaz, même s'il est UDC, n'est pas extrémiste. Et le socialiste assure que de toute façon, la répartition des sièges entre la gauche et la droite au Conseil communal ne bougera pas.
Il espère ainsi rééditer le coup de l'éviction de Christoph Blocher en 2007 du Conseil fédéral.
Les explications de Daniel Musy dans les éditions de lundi de L'Impartial et de L'Express.