Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés

«Me retirer aurait constitué un aveu»

Le PDC maintient sa confiance en Pauline Queloz pour l’élection à la présidence du Parlement. Au bord des larmes, la députée franc-montagnarde s’est défendue en évoquant une affaire d’Etat.

15 déc. 2017, 02:35
DATA_ART_11781433

Une enquête disciplinaire. Une dénonciation en justice contre le président du Tribunal cantonal Jean-Moritz. Une motion interne de l’UDC portant sur la séparation des pouvoirs. Des groupes parlementaires et des partis aux 400 coups. Ce qui devait être une formalité ne l’est plus. La juriste Pauline Queloz nage en plein cauchemar (nos éditions des 8 et 14 décembre).

La nomination de la députée PDC de Saint-Brais à la présidence du Parlement jurassien pour 2018, vendredi prochain, s’assimilait à un plébiscite. Le score de la Franc-Montagnarde devait être excellent, compte tenu de ses capacités, de sa jeunesse (27 ans) et de la force de la première formation politique du canton. Mais il y a eu comme un grain de sable dans cette belle mécanique (lire encadré).

Hier à Bassecourt, le PDC a réaffirmé son soutien unanime à Pauline Queloz en évoquant un «psychodrame». Cette dernière, parfois la voix nouée,...

Votre publicité ici avec IMPACT_medias