"Nous vendons en moyenne 90'000 montres par année. En 2015, c'était un peu moins", glisse le PDG de Maurice Lacroix, Stéphane Waser. Pas de panique, l'horloger franc-montagnard se porte relativement bien, en comparaison de nombreux de ses concurrents, qui ont licencié du personnel ou fait recours au chômage partiel l'année dernière.
Recette du succès? "Une phase de transition. Nous constatons que que notre public cible se rajeunit", explique pour sa part David Rofeh, directeur marketing. Conséquence? Une toute nouvelle manière de communiquer et de se vendre, qui rencontre un succès hors du commun.
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