La vie d’Olivia Steiner n’a pas été épargnée par les épreuves. La dernière en date, dans la nuit du 26 au 27 août, a emporté dans les flammes son Auberge du Peupé, au Noirmont.
Trois mois après, propriétaire de l’établissement, elle consent à nous accueillir sur les lieux du sinistre, et à nous montrer ce qu’il en reste. «En fait, que des murs calcinés, sur une aile de l’étage au-dessus de l’auberge. De l’autre, les douze studios pour les touristes de passage ont subi la chaleur, qui a fendu des parois, et la fumée, dont l’odeur persiste encore.»
Partie ravagée par les flammes au-dessus de l'Auberge du Peupé. Christian Galley
En bas, au niveau du restaurant, l’eau déversée par les SIS des Franches-Montagnes Ouest et par le Centre de renfort de Tramelan ainsi que par les SIS voisins, a provoqué d’importants dégâts d’eau.
Durant la visite, le fidèle petit chien...