La question de la vitesse maximale autorisée sur la route cantonale au cœur de la cité imérienne entre dans sa phase cruciale. Le 21 mai prochain, le peuple sera appelé à se prononcer par les urnes à ce sujet après les deux phases de test réalisées à 50 km/h en 2015, puis en zone 30 en 2016 et jusqu’à un éventuel retour à la situation initiale le premier juillet 2017.
Jeudi 2 mars, le Conseil de ville devra décider de ce que sera la teneur de son message au corps électoral. Il n’aura certainement pas la partie facile compte tenu que les opinions semblent pour l’heure passablement divergentes sur ce point important.
Hier devant la presse, le Conseil municipal a donné son point de vue et celui de la commission d’urbanisme et de mobilité après avoir longuement donné la parole à Cédric Berberat, chef du Service des ponts et chaussées...