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Un coup dur, mais pas une catastrophe pour Nick Hayek

Après l'incendie d'ETA, le CEO du Swatch Group assure que les conséquences resteront limitées.

31 déc. 2013, 00:01
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Les causes de l'incendie qui a ravagé, dimanche matin, un atelier de galvanisation de la société ETA SA, à Granges, ne sont pas encore connues. Porte-parole de la police cantonale soleuroise, Bruno Gribi indique que des spécialistes de la police sont à pied d'oeuvre pour déterminer l'origine du sinistre. "C'est une opération délicate, qui pourrait prendre des jours, voire des semaines. D'une part, parce que les installations ont été détruites, mais aussi en raison des mesures de protection indispensables à prendre, du fait de la présence d'acides et de produits chimiques, et de réactions toujours possibles."

Responsable de la communication du Swatch Group, Béatrice Howald précise que seul l'atelier de galvanisation a été la proie des flammes, et que les autres départements d'ETA n'ont pas été affectés. Quant à savoir quand l'entreprise pourra entamer l'évacuation des équipements détruits, elle indique qu'il faut d'abord attendre les conclusions de l'enquête en cours....

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