Pourquoi Laurent Kurth qui, en 2013, a pris position pour le projet prévoyant de répartir les soins aigus sur deux sites hospitaliers, milite-t-il aujourd’hui pour une double centralisation?
Une partie de sa réponse: "La solution de 2013 reste celle qui aurait ma préférence si elle était possible, mais le contexte général l’a rendu irréalisable. On peut résumer la situation en disant que les autorités ont été rattrapées par deux réalités: premièrement, la rapidité avec laquelle le secteur hospitalier s’est transformé. Deuxièmement, la vétusté des bâtiments existants."
La réponse complète est à découvrir dans nos éditions payantes de ce mardi dans le cadre d'une interview du conseiller d'Etat (nous en ferons de même avec le président du comité qui combat le projet des autorités cantonales).