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Réfugiés mineurs cherchent familles

Neuchâtel en quête d’une vingtaine de familles d’accueil supplémentaires pour les jeunes migrants non accompagnés en provenance d’Erythrée, d’Afghanistan ou de Syrie.

07 févr. 2017, 01:14
ARCHIV --- ZU DEN EMPFEHLUNGEN DER SODK ZU UNBEGLEITETEN MINDERJAEHRIGEN IM ASYLBEREICH STELLEN WIR IHNEN FOLGENDES BILD ZUR VERFUEGUNG --- Ein unbegleiteter minderjaehriger Asylsuchender (UMA) sitzt am Handy, im Transitzentrum fuer Asylsuchende "Landhaus", am Freitag, 1. April 2016, in Davos. (KEYSTONE/Gian Ehrenzeller) SCHWEIZ ASYLBEREICH MINDERJAEHRIGE

L’accélération du flux de réfugiés que les responsables suisses de l’asile attendent depuis deux ans ne s’est pas encore produite. «En tout cas pas pour les mineurs non accompagnés du canton de Neuchâtel», constate Christian Fellrath, le chef du Service cantonal de la protection de l’adulte et de la jeunesse (Spaj).

Reste que la prise en charge de ces mineurs (MNA) – ils sont une septantaine, pour la plupart en provenance d’Erythrée, d’Afghanistan ou de Syrie, et âgés de 16-17 ans – peut encore être améliorée. Aujourd’hui, 24 d’entre eux sont répartis dans 23 familles d’accueil volontaires.

D’autres arrivants n’ont pas cette chance: «Ils sont entre 25 et 30 à la Ronde, dans l’ancienne maison d’éducation au travail de La Chaux-de-Fonds, en compagnie de familles de réfugiés sorties des centres de requérants. Nous cherchons une vingtaine de familles susceptibles d’offrir à ces jeunes un cadre plus sécurisant», annonce...

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