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On a testé pour vous le métier de gardien au zoo de Bâle

Il faut être un peu "toqué" d'un animal et désirer découvrir l'envers du décor d'un zoo. A Bâle, vous pouvez vous glisser dans la peau d'un gardien. Suffit d'y consacrer deux semaines et de savoir un peu parler l'allemand. A quelques jours de la journée mondiale du volontariat, le 5 décembre, on a arpenté brouette en main, le "zooli" tant aimé des Bâlois. Un parc zoologique dirigé depuis 13 ans par un Neuchâtelois, Olivier Pagan.

22 nov. 2015, 20:16
/ Màj. le 23 nov. 2015 à 06:30
Gardien chef du secteur des "étangs", Bruno Gardelli nourrit un manchot royal.

Comme d'habitude, Gwendoline, nous attend, bec collé à la porte de sa banquise bâloise. Son nom ne l'indique pas, mais ce manchot royal de 31 ans, à moitié aveugle, et le (et non la) doyen des 17 Aptenodytes Patagonicus du parc zoologique de Bâle. Et comme d'habitude, il est le premier servi. Deux fois par jour, nous donnons avec mon maître de stage la béquée aux manchots royaux et papou. Plus petits et de vrai bombes en natation. Au menu, des maquereaux et autres esturgeons qu'ils avalent tout rond.

Durant deux semaines, j'ai aprenté le zoo pour nourrir et nettoyer les enclos (ne surtout pas parler de cages) des pélicans (des "bestioles" qui n'hésitent pas à vous encercler pour vous chiper de la nourriture, une vraie horreur!), des flamants roses, des harfangs de neige et autres chouettes, ibis ou canards. C'était mon boulot de volontaire consentante au secteur des "étangs".

Depuis 13 ans, le zoo de Bâle est dirigé par le Landeronnais Olivier Pagan.

A quelques jours de la journée mondiale du bénévolat, le 5 décembre, découvrez cette plongée en pays zoologique dans les éditions de L'Express et L'Impartial de lundi. 

 

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