A Hauterive, les Yéniches avec lesquels nous avons pu parler dénoncent "l'amalgame" qui est fait entre eux et les gens du voyage étrangers. "Nous ne sommes pas de la même ethnie; les mentalités sont différentes", précise l'un d'eux.
La commune et la police ont dit aux Yéniches qu'ils devaient partir: "Nous sommes d'accord, mais il faut que les autorités nous trouvent un autre terrain." En tant que minorité nationale, c'est un droit, soulignent nos interlocuteurs.
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