Contexte
Hier, à l’occasion de la Journée mondiale de la sage-femme, l’association neuchâteloise des sages-femmes à domicile a investi plusieurs écoles du canton pour présenter son travail et sa nouvelle identité: elle s’appelle désormais «Né-sens». L’occasion de parler d’une activité professionnelle qui s’est rendue indispensable, à l’heure où les séjours à la maternité sont fréquemment limités à trois jours.
C’est un constat qui reflète l’évolution de la société occidentale: les sages-femmes à domicile interviennent sept fois plus souvent qu’il y a vingt ans auprès des jeunes mamans. Pourquoi?
A l’occasion de la Journée mondiale de la sage-femme, Isabelle Werkmeister, coprésidente de l’association neuchâteloise des sages-femmes à domicile, rebaptisée «Né-sens», évoque l’isolement des femmes lors de la venue d’un enfant. Et l’importance des sages-femmes, qui jouent un rôle primordial dans l’encadrement des nouvelles familles.
Comment expliquer que les sages-femmes à domicile interviennent sept fois plus souvent qu’il y a vingt ans?...