Dorénavant, dans les travées du Grand Conseil, on évoque le dépôt de déchets sauvages au lieu de littering. Ce qui ne change en rien la problématique. Tous les groupes sont unanimes. Il faut sensibiliser et responsabiliser la population. Sanctionner aussi en cas d’abus.
Le conseiller d’Etat Laurent Favre en est aussi conscient. "Nous avons besoin des communes. Le canton n’est pas seul maître", relève le libéral-radical. Il a rappelé qu’un arrêté prévoit déjà des amendes de 200 à 400 francs. Le gouvernement viendra avec un projet visant à renforcer les mesures contre le dépôt de déchets sauvages. "Nous y travaillons avec mes services pour que les agents nature puissent amender un dépôt sauvage après un pique-nique du dimanche".