Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés

«Le drone apporte un plus», dit le Neuchâtelois Lucas Vuitel

Les trois-quarts des utilisateurs de drones à des fins professionnelles estiment qu’ils ne pourraient plus s’en passer. C’est l’avis majoritaire parmi les mille professionnels interrogés par l’Université de Neuchâtel. Nous avons voulu avoir l’avis de Lucas Vuitel, photographe pour «L’Express» et «L’Impartial».

12 nov. 2017, 12:19 / Màj. le 12 nov. 2017 à 16:30
Le photographe Lucas Vuitel et son drone,

Depuis quand utilisez-vous un drone?

J’ai eu mon premier drone en juin 2015. A la base, j’avais fait un petit peu de modélisme. Le drone est devenu populaire, mais, au début, c’était relativement cher. Aujourd’hui, c’est plus accessible. Un drone performant coûte environ 1500 francs. La technologie évolue vite. J’ai maintenant un appareil de meilleure qualité.

A l’origine, je voulais l’utiliser sur le plan privé pour m’amuser et aussi pour proposer des photos à des entreprises. Maintenant, je l’emploie aussi de plus en plus pour le journal.

Qu’est-ce qu’il vous permet de faire?

Il me permet de réaliser des prises de vues aériennes simplement. Il remplace dans bien des situations l’utilisation d’un hélicoptère ou d’un avion qui coûte plutôt cher à la location. Il pollue moins et occasionne moins de nuisances sonores.

Est-ce que ça change fondamentalement le métier de photographe?

Souvent, pour bien des vues, oui. Par exemple, lorsqu’on...

Votre publicité ici avec IMPACT_medias