A la suite du premier refus du Conseil d'Etat, notre rédaction avait fait appel au préposé à la protection des données et à la transparence. Ce dernier avait soutenu notre démarche tout comme la Commission de la protection des données et de la transparence. Le gouvernement s'était alors tourné vers le Tribunal cantonal qui vient de lui donner tort, démontant un par un ses arguments dans un arrêt daté du 28 janvier. Le Conseil d'Etat évoquait "un intérêt public et privé prépondérant" à ne pas nous communiquer cette convention de départ. Pas du tout, explique le Tribunal cantonal dans les huit pages de ses considérants.
Les explications de l'arrêt du Tribunal cantonal dans nos éditions "premium" du mercredi 3 février.