A moins d'un mois de la rentrée universitaire, le professeur Kilian Stoffel enfile son costume de recteur. Une nouvelle loi devrait bientôt accorder à l'Université de Neuchâtel une plus grande autonomie de décision et de gestion financière. Mais la rentrée risque aussi de se dérouler dans un climat politique tendu en raison de la situation budgétaire du canton. Dans un interview à découvrir dans nos éditions payantes du jour, le successeur de Martine Rahier à la tête de l'UniNe explique comment il entend tirer parti de la nouvelle loi pour donner plus de souplesse à la gestion des finances, le recrutement des scientifique et l'organisation de l'Université.
Il explique comment l'offre de formation de la plus petite université généraliste de Suisse contribue à répondre aux questions sur l'innovation, les big datas, les rapports à l'environnement et d'autres grandes problématiques actuelles au bénéfice de l'économie neuchâteloise,