Il est l’un des héritiers, en ligne directe, de l’Observatoire cantonal et de ses concours de chronométrie, puis des travaux pionniers menés sur les horloges atomiques: le Laboratoire Temps-Fréquence (LTF) de l’Université de Neuchâtel continue de repousser les limites de la mesure du temps. Huit ans après son rattachement à l’UniNe, ses effectifs ont passé de 7 à 25 collaborateurs – principalement professeurs, docteurs et doctorants – et il est l’un des instituts qui capte, en proportion, le plus de fonds de tiers (ou financements externes).
«Nous avons eu depuis 2007 environ 70 projets externes, à hauteur de plus de deux millions de francs par an en moyenne», relève le professeur Gaetano Mileti, directeur adjoint du LTF. Preuve de son importance, le laboratoire fait d’ailleurs partie des neuf domaines clés en matière de recherche et d’innovation de l’alma mater neuchâteloise.
Repousser les frontières
Sa mission? Explorer et repousser...