Une université doit-elle oui ou non participer aux «rankings» internationaux, ces concours proposés par divers organismes pour classer les hautes écoles? Certaines universités, pour diverses raisons, s’y refusent. L'Université de Neuchâtel a décidé, elle, de se lancer, en prenant part cette année au «Times Higher Education»
Pourquoi cette démarche? «Le fait de figurer dans un classement de ce genre est devenu important en termes d’attractivité. C’est la raison principale de notre participation», répond Fabian Greub, porte-parole de l’UniNE. «Il en va de notre visibilité sur le plan international, et donc de l’attrait que nous pouvons exercer à l’endroit des étudiants et des professeurs étrangers.»
Résultat des courses: l’alma mater neuchâteloise a terminé dans le groupe des universités classées ex-æquo entre la 400e et la 500e place, sur environ 800 participants.
Comment ce classement a-t-il été établi? Qu'en pense-t-on à l'Université de Neuchâtel?
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