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"L’ULM propose une grande liberté, mais il faut la gérer"

Deux jours après l'accident qui a coûté la vie à deux personnes lors du crash de leur ULM au Soliat, nous avons demandé à un Neuchâtelois qui possède un ULM basé dans le Jura français comment il gère les paramètres de sécurité avec son appareil.

24 août 2017, 15:54 / Màj. le 24 août 2017 à 16:30
Le Neuchâtelois François Dreyer à bord de son ULM pendulaire biplace sur le base de Doucier dans le Jura français.

Mardi soir, alors qu’il était en train de souper à son domicile de Neuchâtel, François Dreyer a soudain entendu un bruit très reconnaissable: "J’étais sûr que c’était un ULM pendulaire. Je suis allé dans le jardin avec mes jumelles pour le voir de plus près. Je pense que c’est le même qui s’est écrasé au Soliat. Il n’y en a quand même pas autant que ça qui viennent voler en Suisse." François Dreyer s’y connait bien en matière d’ULM pendulaire, qu’il pilote depuis près de vingt ans. Interview.

A lire aussi: "Je n'ai pas réussi à sauver les deux occupants" (23 août 2017)

Où pratiquez-vous l’ULM?

Mon appareil est basé à Doucier, dans le Jura français, entre Champagnole et Lons-le-Saunier. Je m’y rends une à deux fois par mois et je vole entre 25 et 40 heures par année, en fonction des conditions météo. J’ai acheté un ULM au début...

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