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«Il y a eu une prise de conscience»

Monika Maire-Hefti parle des conditions de travail des enseignants.

11 août 2017, 00:47
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La rentrée scolaire dans le canton de Neuchâtel, lundi, sera marquée par la dernière phase de la réforme du cycle 3 (l’ex-école secondaire): au tour de la 11e année Harmos de passer aux classes à deux niveaux. Les sections maturité, moderne et préprofesionnelle sont donc mortes. Le sujet a bien sûr été abordé, hier à Marin, à l’occasion de la traditionnelle conférence de presse «aoûtienne» du Département cantonal de l’éducation et de la famille DEF).

L’essentiel de la discussion, toutefois, a porté non pas sur les effectifs (voir l’infographie ci-contre) ou autres nouveautés pédagogiques, mais sur les conditions de travail des enseignants. Il faut dire que la veille, le Syndicat des enseignants romands (SER) avait livré des chiffres impressionnants: selon un questionnaire, 40% des enseignants présentent des signes avant-coureurs de burn-out (notre édition d’hier).

Mesures concrètes

Il faut dire aussi que le DEF lui-même avait choisi d’axer la conférence de...

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