Sur les hauts de Neuchâtel, la famille Suffia ne pourra pas se prononcer, le 12 février prochain, sur la naturalisation facilitée promise aux étrangers de la troisième génération.
Pas davantage que ses parents qui vivent au Locle, Angelo Suffia, chef du Service technique et des constructions de la commune de Milvignes ne pourra glisser dans l’urne le «oui» qui lui brûle les doigts et qui faciliterait l’accès au passeport rouge à croix blanche à ses trois enfants, âgés de 17, 21 et 26 ans. Seul de la fratrie, Telmo, 17 ans, a accepté notre invitation à prêter son image pour donner un visage neuchâtelois à cette campagne.
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