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Diantre, que la politique suisse est compliquée!

Deux classes du canton, l'une du Locle, l'autre du Val-de-Ruz ont testé les rouages de la politique fédérale à Berne même, pendant une semaine. Cette immersion les a laissés quelque peu en apnée sur certains points de la démocratie helvétique, pas simples à piger.

26 mai 2017, 18:24
Ici, une classe 11e Harmos du Val-de-Ruz, durant la semaine Ecole à Berne.

Comment fonctionnent les rouages de la politique fédérale? Deux classes en 11e Harmos du canton, une du Locle et l’autre du Val-de-Ruz, ont fait le test à Berne même. Avec leurs enseignantes respectives, Crystelle Tüller Gregorio et Myriam Wiser, elles ont évolué sous la coupole, dans le cadre de la semaine-pilote «Ecoles à Berne». Les élèves ont dû entrer dans la peau de conseillers nationaux. 
Ils  ont ainsi été invités à déposer une initiative populaire fictive sous un nom de parti inventé pour l’occasion. 

Des noms pour rire, mais...

L’Union romande socialement sympa (l’URSS) des Vaudruziens a défendu une initiative pour «le droit au mariage et à la famille pour tous». Sous l’égide de l’ADNF, acronyme pour «amélioration de notre futur», les Loclois voulaient eux la «création d’une zone verte obligatoire dans toutes les villes de Suisse».
L’expérience n’a pas été une sinecure et n’a pas rimé du tout avec école buissonnière. Les écoliers ont sué pour apprendre à manier quelques-uns des outils démocratiques helvétiques. Ce qui a été ardu?

Découvrez dans nos éditions payantes de demain les points sur lesquels ils se sont un peu pris la tête et qui leur ont donné à penser que la démocratie helvétique est certes chouette, mais complexe.

 

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